Au sein de ce vaste ensemble, plusieurs zones ont leur dénomination particulière, mais toutes ont en commun une façon d’appréhender le vin, unique et multiple à la fois, avec un savoir-faire commun et des terroirs différents.Au nord et à l’ouest, le calcaire prédomine. Au sud et à l’est, le cristallin apparaît et, selon les lieux, le mistral bien sec où les brises marines du bord de mer apportent au raisin une spécificité différente.La production approche aujourd’hui les 900 000 hectolitres annuels, soit 120 millions d’équivalent bouteilles. Bien sûr, c’est le rosé qui règne en maître, fer de lance de la production des Côtes de Provence, étendard à l’export et ventes records l’été venu. Ainsi, c’est 89,5 % du vin produit sous cette appellation qui est rosé, contre 7 % en rouge et 3,5 % en blanc.La filière viticole pèse très lourd économiquement, en termes de chiffres d’affaires, d’emploi, de retombées directes ou indirectes pour l’économie locale et nationale. L’essentiel des domaines est organisé en caves particulières (372 au total), mais les caves coopératives sont encore nombreuses (38).Surtout, les Côtes de Provence ont gagné en l’espace d’une cinquantaine d’années une vraie notoriété, et un respect des professionnels du vin.La montée en gamme se poursuit, sans cesse, pour élever encore plus haut la réputation de l’appellation. Comme d’autres dénominations de terroir, (La Londe, Fréjus, Sainte-Victoire notamment) l’appellation Côtes de Provence Pierrefeu, née en 2013, est un ensemble de productions regroupées sur douze communes autour de Pierrefeu : Carnoules, Carqueiranne, Collobrières, Cuers, La Crau, La Farlède, La Garde, La Valette, Le Pradet, Puget-Ville, Solliès-Pont et donc Pierrefeu.Peu élevés, balayés par les vents venus de la mer, les vignobles des Côtes de Provence Pierrefeu, produisent 5 100 hectares par an, soit 680 000 équivalent bouteilles. Un joli chiffre pour une production pour l’instant contenue sur 122 hectares.Ici, comme dans l’ensemble des Côtes de Provence, les rosés, en force, mais les rouges aussi, s’accordent parfaitement aux mets de notre région. Parfums et saveurs, arômes et notes fruitées se complètent à merveille avec la cuisine méditerranéenne et plus spécialement varoise. Au sein de ce vaste ensemble, plusieurs zones ont leur dénomination particulière, mais toutes ont en commun une façon d’appréhender le vin, unique et multiple à la fois, avec un savoir-faire commun et des terroirs différents. Au nord et à l’ouest, le calcaire prédomine. Au sud et à l’est, le cristallin apparaît et, selon les lieux, le mistral bien sec où les brises marines du bord de mer apportent au raisin une spécificité différente. La production approche aujourd’hui les 900 000 hectolitres annuels, soit 120 millions d’équivalent bouteilles. Bien sûr, c’est le rosé qui règne en maître, fer de lance de la production des Côtes de Provence, étendard à l’export et ventes records l’été venu. Ainsi, c’est 89,5 % du vin produit sous cette appellation qui est rosé, contre 7 % en rouge et 3,5 % en blanc. La filière viticole pèse très lourd économiquement, en termes de chiffres d’affaires, d’emploi, de retombées directes ou indirectes pour l’économie locale et nationale. L’essentiel des domaines est organisé en caves particulières (372 au total), mais les caves coopératives sont encore nombreuses (38). Surtout, les Côtes de Provence ont gagné en l’espace d’une cinquantaine d’années une vraie notoriété, et un respect des professionnels du vin. La montée en gamme se poursuit, sans cesse, pour élever encore plus haut la réputation de l’appellation.Comme d’autres dénominations de terroir, (La Londe, Fréjus, Sainte-Victoire notamment) l’appellation Côtes de Provence Pierrefeu, née en 2013, est un ensemble de productions regroupées sur douze communes autour de Pierrefeu : Carnoules, Carqueiranne, Collobrières, Cuers, La Crau, La Farlède, La Garde, La Valette, Le Pradet, Puget-Ville, Solliès-Pont et donc Pierrefeu. Peu élevés, balayés par les vents venus de la mer, les vignobles des Côtes de Provence Pierrefeu, produisent 5 100 hectares par an, soit 680 000 équivalent bouteilles. Un joli chiffre pour une production pour l’instant contenue sur 122 hectares. Ici, comme dans l’ensemble des Côtes de Provence, les rosés, en force, mais les rouges aussi, s’accordent parfaitement aux mets de notre région. Parfums et saveurs, arômes et notes fruitées se complètent à merveille avec la cuisine méditerranéenne et plus spécialement varoise.