Madère en FrancePrenez le temps d’une paisible promenade dans les rue de celle que l’on surnomme «le Madère de la France», en référence à la luxuriance de l’île portugaise. En contemplant le panorama sur les îles de Lérins et l’Estérel, on comprend pourquoi, dès l’Antiquité, les Romains avait repéré cet emplacement exceptionnel, confortablement niché entre sept collines, exactement comme Rome. Ils avaient couvert le site de plantations d’oliviers et l’avaient baptisé Olivetum. Aujourd’hui, vous pouvez laisser guider vos pas dans la vieille ville en suivant le balisage au sol, bleu et jaune le long d’une visite agrémentée de plaques d’informations historiques. Des plans-guides sont disponibles dans les deux Points Information Tourisme. Notez également qu’une visite commentée est organisée par l’Office du Tourisme.Bonnard au Cannet«Je n’invente rien, je regarde», dit un jour Bonnard. Pendant les 22 années qu’il a passé au Cannet, il a pris le temps de tout voir, en effet, dans les moindres détails. Et surtout il a restitué ses sensations sur quelque 300 toiles, parmi lesquelles les experts s’accordent à distinguer ses plus beaux chefs d’oeuvres. Passionné par la nature, fasciné par la lumière, il aima Le Cannet qui posa, comme un modèle complice, pour ses paysages. Et sa maison, Le Bosquet dont il peignit aussi jusqu’au dernier recoin. Ce n’est que justice que le premier musée consacré à ce grand peintre postimpressionniste se trouve ici, sur un territoire avec lequel il se sentit profondément en osmose.A partir du 2 juillet, le musée Bonnard présente une nouvelle exposition intitulée «Entre chiens et chats, Bonnard et l’animalité» avec une cinquantaine d’oeuvres du fond propre du musée mais aussi des prêts du musée d’Orsay à Paris, de la Glyptothèque de Copenhague ou encore du Kunsthalle de Brême. Madère en France Prenez le temps d’une paisible promenade dans les rue de celle que l’on surnomme «le Madère de la France», en référence à la luxuriance de l’île portugaise. En contemplant le panorama sur les îles de Lérins et l’Estérel, on comprend pourquoi, dès l’Antiquité, les Romains avait repéré cet emplacement exceptionnel, confortablement niché entre sept collines, exactement comme Rome. Ils avaient couvert le site de plantations d’oliviers et l’avaient baptisé Olivetum. Aujourd’hui, vous pouvez laisser guider vos pas dans la vieille ville en suivant le balisage au sol, bleu et jaune le long d’une visite agrémentée de plaques d’informations historiques. Des plans-guides sont disponibles dans les deux Points Information Tourisme. Notez également qu’une visite commentée est organisée par l’Office du Tourisme. Bonnard au Cannet «Je n’invente rien, je regarde», dit un jour Bonnard. Pendant les 22 années qu’il a passé au Cannet, il a pris le temps de tout voir, en effet, dans les moindres détails. Et surtout il a restitué ses sensations sur quelque 300 toiles, parmi lesquelles les experts s’accordent à distinguer ses plus beaux chefs d’oeuvres. Passionné par la nature, fasciné par la lumière, il aima Le Cannet qui posa, comme un modèle complice, pour ses paysages. Et sa maison, Le Bosquet dont il peignit aussi jusqu’au dernier recoin. Ce n’est que justice que le premier musée consacré à ce grand peintre postimpressionniste se trouve ici, sur un territoire avec lequel il se sentit profondément en osmose. A partir du 2 juillet, le musée Bonnard présente une nouvelle exposition intitulée «Entre chiens et chats, Bonnard et l’animalité» avec une cinquantaine d’oeuvres du fond propre du musée mais aussi des prêts du musée d’Orsay à Paris, de la Glyptothèque de Copenhague ou encore du Kunsthalle de Brême.