Cap d’Ail, promenade aux jardinsDe son passé Belle Époque, Cap d’Ail a gardé de superbes bâtiments qui émaillent la commune, comme la villa Les Camélias qui se visite avec son rez de jardin consacré à l’histoire de Cap d’Ail et dans les étages des oeuvres du peintre basque Ramiro Arrue (1892-1971). Mais aussi de beaux parcs et jardins qui fleurissent la commune. Avec ses 2000 m2 de verdure, le plus important est celui qui entoure le Château des Terrasses, réhabilité par la municipalité. Il offre un beau panorama et on y trouve des espèces rares de la flore méditerranéenne. Surplombant la mer, le parc Sacha Guitry est situé non loin de la villa que posséda l’auteur et il offre lui aussi un superbe point de vue. Pour davantage d’essences encore, vous pouvez emprunter les sentiers panoramiques aménagés par l’ONF et qui dominent Cap d’Ail et Monaco. Ou rallier la pointe des Douaniers, le volcan éteint de Cap d’Ail, pour y découvrir une roche lavique appelée andésite. Enfin, avenue des Douaniers, un jardin portant le même nom a été crée pour des pauses conviviales, avec son cabanon aménagé.Ainsi marchait Friedrich NietzscheC’est à Eze que le philosophe allemand rédigea la troisième partie de son «Ainsi parlait Zarathoustra». Un sentier qui porte son nom relie le bord de mer au sommet de la colline quelque 400m plus haut. Un parcours à la fois vivifiant et propice à la méditation, tels que les affectionnait Nietzsche. On peut comme lui, profiter des trois «étages» de la commune d’Èze. Au plus haut, c’est la sérénité du parc départemental de la Grande Corniche, avec l’imposant Fort de la Révère, et des points de vues d’où l’esprit peut se perdre à l’infini. En dessous, c’est le village médiéval, perché 400m au dessus de la mer. Son jardin exotique, planté de cactées et de statues déploie un « espace contemplatif » bien nommé. Enfin, la basse corniche, peint un autre tableau paisible, celui de la Méditerranée ici embrassée par la pointe du cap Ferrat. Cap d’Ail, promenade aux jardins De son passé Belle Époque, Cap d’Ail a gardé de superbes bâtiments qui émaillent la commune, comme la villa Les Camélias qui se visite avec son rez de jardin consacré à l’histoire de Cap d’Ail et dans les étages des oeuvres du peintre basque Ramiro Arrue (1892-1971). Mais aussi de beaux parcs et jardins qui fleurissent la commune. Avec ses 2000 m2 de verdure, le plus important est celui qui entoure le Château des Terrasses, réhabilité par la municipalité. Il offre un beau panorama et on y trouve des espèces rares de la flore méditerranéenne. Surplombant la mer, le parc Sacha Guitry est situé non loin de la villa que posséda l’auteur et il offre lui aussi un superbe point de vue. Pour davantage d’essences encore, vous pouvez emprunter les sentiers panoramiques aménagés par l’ONF et qui dominent Cap d’Ail et Monaco. Ou rallier la pointe des Douaniers, le volcan éteint de Cap d’Ail, pour y découvrir une roche lavique appelée andésite. Enfin, avenue des Douaniers, un jardin portant le même nom a été crée pour des pauses conviviales, avec son cabanon aménagé. Ainsi marchait Friedrich Nietzsche C’est à Eze que le philosophe allemand rédigea la troisième partie de son «Ainsi parlait Zarathoustra». Un sentier qui porte son nom relie le bord de mer au sommet de la colline quelque 400m plus haut. Un parcours à la fois vivifiant et propice à la méditation, tels que les affectionnait Nietzsche. On peut comme lui, profiter des trois «étages» de la commune d’Èze. Au plus haut, c’est la sérénité du parc départemental de la Grande Corniche, avec l’imposant Fort de la Révère, et des points de vues d’où l’esprit peut se perdre à l’infini. En dessous, c’est le village médiéval, perché 400m au dessus de la mer. Son jardin exotique, planté de cactées et de statues déploie un « espace contemplatif » bien nommé. Enfin, la basse corniche, peint un autre tableau paisible, celui de la Méditerranée ici embrassée par la pointe du cap Ferrat.