La petite CamargueA l’embouchure du fleuve Var, entre le centre commercial Cap 3000 et l’aéroport Nice Côte d’Azur, se trouve une zone ornithologique prisée des oiseaux. Ce site que l’on appelle la « petite Camargue laurentine » est en effet couramment occupé par des flamands roses ou des hérons cendrés, mais aussi par des petits gravelots, des chevaliers ou encore de bécassines des Marais. Sa popularité est telle, en fait, que l’on a pu y observer au total 264 espèces d’oiseaux différentes. On peut les admirer depuis le sentier de la promenade verte, où sont installés des panneaux pédagogiques présentant nombre de ces visiteurs à plumes.Tout près se trouve également un autre espace protégé, maritime cette fois : l’aquarium naturel des Flots Bleus. Grâce à l’interdiction de pêcher qui a été mise en place sur cette zone en 2008, poissons et humains ont appris à se côtoyer, s’apprivoiser, pour ainsi dire, puisqu’il est possible de caresser les poissons !La porte de FranceSi la commune est aujourd’hui une porte vers la ville de Nice d’une part et le moyen-pays d’autre part, le long de la vallée du Var, elle fut autrefois rien moins que la Porte de France. A l’époque, Saint-Laurent-du-Var constituait en effet la limite avec le Comté de Nice puis l’Italie, aucun pont n’enjambant le fleuve avant le début du XIXe siècle. Les Laurentins, et en particulier le comité de sauvegarde du vieux village, gardent ce pan de leur histoire au cœur. Pour vous en persuader, lancez-vous donc dans les deux balades proposées par l’Office de Tourisme, à retrouver gratuitement sur smartphone via l’appli Saint-Laurent-du-Var. Elles vous conduiront tour à tour dans le vieux-village et sur le littoral et vous comprendrez mieux ainsi comment ce qui était un village de pêcheur, aux maisons sur pilotis, est devenu, au fil des siècles, une station balnéaire touristique moderne. La petite Camargue A l’embouchure du fleuve Var, entre le centre commercial Cap 3000 et l’aéroport Nice Côte d’Azur, se trouve une zone ornithologique prisée des oiseaux. Ce site que l’on appelle la « petite Camargue laurentine » est en effet couramment occupé par des flamands roses ou des hérons cendrés, mais aussi par des petits gravelots, des chevaliers ou encore de bécassines des Marais. Sa popularité est telle, en fait, que l’on a pu y observer au total 264 espèces d’oiseaux différentes. On peut les admirer depuis le sentier de la promenade verte, où sont installés des panneaux pédagogiques présentant nombre de ces visiteurs à plumes. Tout près se trouve également un autre espace protégé, maritime cette fois : l’aquarium naturel des Flots Bleus. Grâce à l’interdiction de pêcher qui a été mise en place sur cette zone en 2008, poissons et humains ont appris à se côtoyer, s’apprivoiser, pour ainsi dire, puisqu’il est possible de caresser les poissons ! La porte de France Si la commune est aujourd’hui une porte vers la ville de Nice d’une part et le moyen-pays d’autre part, le long de la vallée du Var, elle fut autrefois rien moins que la Porte de France. A l’époque, Saint-Laurent-du-Var constituait en effet la limite avec le Comté de Nice puis l’Italie, aucun pont n’enjambant le fleuve avant le début du XIXe siècle. Les Laurentins, et en particulier le comité de sauvegarde du vieux village, gardent ce pan de leur histoire au cœur. Pour vous en persuader, lancez-vous donc dans les deux e-ballades proposées par l’Office de Tourisme, à retrouver gratuitement sur smartphone via l’appli Saint-Laurent-du-Var. Elles vous conduiront tour à tour dans le vieux-village et sur le littoral et vous comprendrez mieux ainsi comment ce qui était un village de pêcheur, aux maisons sur pilotis, est devenu, au fil des siècles, une station balnéaire touristique moderne.