Le secteur de l’hôtellerie restauration est-il prépondérant dans les Alpes-Maritimes ? Le tourisme représente entre 40 et 50% des salariés du département. L’hôtellerie est le 2ème employeur niçois, derrière la mairie de Nice. Nos emplois sont très diversifiés, et l’avènement des spas au sein des hôtels a ouvert une gamme d’emplois encore plus large. Y a t-il des besoins qui ne sont pas couverts ? Certains métiers sont en tension ; difficile de recruter des cuisiniers qui ont vu leur métier évoluer. Les compétences linguistiques sont toujours très recherchées. Les métiers qui utilisent les nouvelles technologies pour la gestion des tarifs, les canaux de distribution et la gestion des réseaux sociaux sont également recherchés. Quelle évolution pour ce secteur ? On va voir se développer des métiers dit de confort, notamment liés à l’univers des spas. Et on note un retour à l’empathie, on retrouve la notion de service, avec le sourire comme étendard. Je tiens à dire que, l’ascenseur social fonctionne toujours dans nos professions, et que l’insertion se fait plus facilement par le biais des contrats saisonniers. www.hotels.riviera.fr Quel est le poids du secteur de l’artisanat dans les Alpes-Maritimes ? L’artisanat dans le département c’est : 35 000 entreprises, 60 000 actifs, 2 000 apprentis, 4,5 milliards d’euros de chiffre d’affaires. On peut donc dire que l’artisanat est un acteur économique majeur. Tous les métiers de l’artisanat, et il y en a plus de 250, sont porteurs ; ce sont des professions que l’on peut exercer partout dans le monde. Y a t-il des métiers qui peinent à recruter ? Il est vrai que certains métiers ont des difficultés de recrutement : boulanger, pâtissier, carrossier, garagiste, prothésiste dentaire, … D’autres sont quasi en voie de disparition et ont du mal à transmettre leur savoir-faire : maréchal-ferrant, matelassier, ... D’autres encore, deviennent rares : fresquiste, accordeur de pianos, archetier, … Est-ce qu’un jeune titulaire d’un bac général peut encore se diriger vers l’artisanat ? Bien sûr ! Il lui suffit de s’adresser à nos services et nous l’aiderons à monter son projet de formation. Le secteur de l’artisanat présente des opportunités que d’autres domaines n’offrent pas : après quelques années d’apprentissage et d’expérience, on peut devenir son propre patron et accéder à une indépendance totale. www.cma06.fr VickyEn mise à niveau (MAN) hôtellerie restauration au lycée hôtelier de Nice.« Ayant beaucoup voyagé, j’adore l’univers de l’hôtellerie depuis toute petite. C’est un secteur où la routine n’existe pas et dans lequel on peut travailler à l’international. Après la MAN, je préparerai le BTS hôtellerie restauration option marketing hôtelier. J’envisage une année de bachelor à l’étranger. Je voudrai ensuite travailler en Asie, et ouvrir mon propre hôtel restaurant sur ce continent. Le taux d’insertion du BTS est très bon grâce aux stages qui nous permettent de faire nos preuves et au réseau du lycée ». Le secteur de l’hôtellerie restauration est-il prépondérant dans les Alpes-Maritimes ? Le tourisme représente entre 40 et 50% des salariés du département. L’hôtellerie est le 2ème employeur niçois, derrière la mairie de Nice. Nos emplois sont très diversifiés, et l’avènement des spas au sein des hôtels a ouvert une gamme d’emplois encore plus large. Y a t-il des besoins qui ne sont pas couverts ? Certains métiers sont en tension ; difficile de recruter des cuisiniers qui ont vu leur métier évoluer. Les compétences linguistiques sont toujours très recherchées. Les métiers qui utilisent les nouvelles technologies pour la gestion des tarifs, les canaux de distribution et la gestion des réseaux sociaux sont également recherchés. Quelle évolution pour ce secteur ? On va voir se développer des métiers dit de confort, notamment liés à l’univers des spas. Et on note un retour à l’empathie, on retrouve la notion de service, avec le sourire comme étendard. Je tiens à dire que, l’ascenseur social fonctionne toujours dans nos professions, et que l’insertion se fait plus facilement par le biais des contrats saisonniers. www.hotels.riviera.fr Vicky En mise à niveau (MAN) hôtellerie restauration au lycée hôtelier de Nice. « Ayant beaucoup voyagé, j’adore l’univers de l’hôtellerie depuis toute petite. C’est un secteur où la routine n’existe pas et dans lequel on peut travailler à l’international. Après la MAN, je préparerai le BTS hôtellerie restauration option marketing hôtelier. J’envisage une année de bachelor à l’étranger. Je voudrai ensuite travailler en Asie, et ouvrir mon propre hôtel restaurant sur ce continent. Le taux d’insertion du BTS est très bon grâce aux stages qui nous permettent de faire nos preuves et au réseau du lycée ».