Merryl en 2ème année de Kiné à la faculté de médecine de NiceNathalie en 3ème année de médecine à la faculté de médecine de Nice « Tous les futurs étudiants en médecine doivent se préparer à une première année très difficile. On commence les cours en août, en petits groupes. Au premier concours blanc, mi-août, la pression monte d’un cran et elle sera de plus en plus élevée, au rythme des concours blancs toutes les trois semaines. Il ne faut pas s’affoler et se préparer à changer d’univers, à mettre une année entre parenthèse pour cause d’énorme charge de travail. Il faut surtout avoir très envie de devenir soignant, ne pas céder à la pression des parents. C’est une année de sacrifice, mais après, ça vaut le coup ! » Quel est le poids économique du secteur du service à la personne ? Le secteur des services à la personne est un secteur présentant un important potentiel d’embauche : en 2013, et avec près de deux millions de salariés, toutes les structures confondues représentaient 1,1 % du PIB. Quelles perspectives en termes d’emplois pour votre secteur dans les années à venir ? Les perspectives en termes d’emploi sont très nettement positives si on se place simplement sur le plan des chiffres et des statistiques. Quelles formations requises ? L’évolution de ces métiers – depuis quelques années – ne se fait pas seulement par l’accumulation de formations, de titres et de diplômes en permettant l’accès. Elle est dans la prise de conscience que le lien entre professionnels et usagers doit être un lien de qualité, qui doit perdurer dans le temps pour des prises en charge pérennes et respectueuses des équilibres familiaux et sociétaux. S’ouvrent alors de très belles et très intéressantes perspectives pour tous ces métiers, avec des salariés conscients qu’ils exercent un « vrai métier ». www.fedesap.org Merryl en 2ème année de Kiné à la faculté de médecine de Nice Nathalie en 3ème année de médecine à la faculté de médecine de Nice « Tous les futurs étudiants en médecine doivent se préparer à une première année très difficile. On commence les cours en août, en petits groupes. Au premier concours blanc, mi-août, la pression monte d’un cran et elle sera de plus en plus élevée, au rythme des concours blancs toutes les trois semaines. Il ne faut pas s’affoler et se préparer à changer d’univers, à mettre une année entre parenthèse pour cause d’énorme charge de travail. Il faut surtout avoir très envie de devenir soignant, ne pas céder à la pression des parents. C’est une année de sacrifice, mais après, ça vaut le coup ! »